Galerie Frédéric Gollong
59 rue Grande
06570 Saint-Paul-de-Vence
www.gollong.net

La Galerie Frédéric Gollong présente depuis plus de 45 ans des peintures, sculptures, lithographies et bijoux d’artistes contemporains célèbres et à découvrir.

La Galerie Frédéric Gollong présente Alexis Gorodine

Alexis Gorodine est né en 1954. Ingénieur des travaux publics, il se consacre depuis 1972 à la peinture. Il vit et travaille à Paris.

« Tracés au fusain, les animaux de Gorodine participent autant de la réalité que du fantastique. Cerfs, hérons, lièvres, mais aussi griffons et licornes, d’autres espèces échappent à toute catégorisation. Plutôt que de s’intéresser comme le font les paléontologues aux espèces animales d’un lointain passé, il s’est interrogé sur l’évolution probable des animaux dans un lointain futur, à quarante millions d’années.

Mais réels, mythologiques ou futuristes tous ces animaux sont traités avec une identique attention à la matière, cendre de bois travaillée avec un liant, et acrylique. Le résultat donne l’impression d’une peinture sur laquelle le temps aurait fait son œuvre… » – Serge Hartmann

Galerie Frédéric Gollong has been exhibiting paintings, sculptures, lithographs and jewellery by famous and up-and-coming contemporary artists for over 45 years.

Galerie Frédéric Gollong presents Alexis Gorodine

Alexis Gorodine was born in 1954. A public works engineer, he has devoted himself to painting since 1972. He lives and works in Paris.

“Drawn in charcoal, Gorodine’s animals are as much part of reality as fantasy. Deer, herons, hares, but also griffins and unicorns, other species escape any categorisation. Rather than focusing, as palaeontologists do, on animal species from the distant past, he looked at the likely evolution of animals in the distant future, forty million years from now.

Whether real, mythological or futuristic, all these animals are treated with the same attention to material, wood ash worked with a binder, and acrylic. The result gives the impression of a painting on which time has done its work…”. – Serge Hartmann